Les bros de Mythic Battle Pantheon

Today on va commencer à mettre un peu de Mythic Battle Pantheon. J'ai kickstarté le jeu il y a deux ans à peu près, et c'est un des jeux que j'attendais le plus. A raison puisque la qualité des figurines est dingue et le jeu très solide pour sa partie escarmouche.

Voilà le contexte. On se retrouve dans une espèce d'apocalypse mythologique dans laquelle les portes des enfers sont grandes ouvertes. Les dieux s'entretuent pour retrouver une partie de leur pouvoir perdu, condensée dans des Omphalos, sortes de caillasses renfermant la force divine des dieux déjà tombés. Chaque dieu se crée donc une armée en piochant allègrement dans tous les monstres et héros de la mythologie grecque, ressuscités pour l'occasion. 

Dans ce joyeux royal rumble sauce mythologie, la création d'armée se passe via un draft en deux phases. On drafte d'abord un dieu, leader de notre armée, puis ensuite le reste des troupes. Le côté draft est probablement ce qui fait le sel du jeu, les parties pouvant être gagnées ou perdues dès ce moment de la partie. Ensuite, avec chaque unité vient un board récapitulatif de ses stats et de ses pouvoirs, ainsi que des cartes activation. A chaque tour de jeu, on ne peut activer ses unités qu'en jouant leurs cartes, ce qui crée une petite mécanique de deckbuilding également et évite le côté snowball qui pourrait exister si on se contentait d'activer nos unités les plus puissantes. Les affrontements entre unités se passent ensuite via lancer de dés spéciaux, et le but de la partie est soit d'abattre le dieu adverse, ou d'absorber plus d'omphalos que lui.

Le jeu en soi est très bon (même si le fait de rusher les omphalos sur la map peut amener à des parties un peu bizarres dans lesquelles les déplacements stratégiques ont part belle au détriment du combat) et incroyablement varié vu qu'on ne joue que rarement la même composition d'armée.

J'en viens donc à la présentation des figs en commençant très logiquement par le roi des dieux, fils du titan Cronos, souverain des cieux, invétéré queutard infidèle (et donc père d'innombrables héros : Héraclès, Persée, Castor et Pollux...) j'ai nommé Zeus !

Et on ne saurait mettre simplement Zeus sans mettre son opposé, son frère, souverain du royaume du dessous, l'ami Hadès.